C’est pourquoi le ministère demande au commissaire de la République de Lille et à tous les responsables de la reconstruction dans la région de prévoir au plus vite les plans d’utilisations de cette main-d’œuvre. Sur trois ans, l’État a dépensé plus de 20 milliards de francs pour entretenir ses prisonniers et c’est le revenu total des indemnités compensatrices (un peu moins de 20 milliards de francs) qui permet d’aboutir à un déficit réduit.