À la fin de 1916, la municipalité doit cependant créer des cartes de rationnement, d’abord pour le sucre puis pour le pain et le charbon. Cela se comprend tout à fait en cette période de pénurie alimentaire – les cartes de rationnement ne sont levées qu’en 1948 et les travaux agricoles ont été partiellement délaissés durant la guerre. Fin 1917, le préfet offre par ailleurs plusieurs milliers de kilos de haricots et de lentilles.