Avant le début du conflit, le ministère de l’Intérieur avait établi l’organisation dite de « défense passive », qui visait à charger des volontaires d’assurer les services normalement dévolus à la préfecture de police, qui serait mobilisée par d’autres sujets et de ce fait dispersée. Espérons que les urbanistes voudront bien tenir compte de ce fait dans l’élaboration de leurs projets et permettre à quelques pittoresques cabarets, à des restaurants accueillants, voire à d’agréables hôtels, de subsister ou de renaître.