On le constate néanmoins : cet argument d’une France désireuse d’instrumentaliser la libération de ses PG pour ternir l’image de l’URSS revient de manière récurrente des deux côtés du Rhin, probablement parce que colporté par les milieux procommunistes. D’après l’auteur, cette libération, faux-semblant d’humanisme, serait aussi perçue comme un moyen de ternir l’image de l’URSS qui n’a, pour sa part, pas encore procédé à la libération de ses prisonniers.