Aux accents d’une chanson, de marche, un groupe de jeunes apprentis, colonne par trois, blousons et pantalons noirs, quitte l’usine. Le groupe finit par pénétrer dans le monde de la Soul Society. La propagande fait beaucoup pour cela, par exemple Le Petit Parisien du 30 novembre 1942 : « Le centre de jeunes mécaniciens de Suresnes, pépinière de spécialistes pour la relève.