En 1926, l’Américain Bernard Flursheim (chargé réorganiser la Croix-Rouge américaine et de distribuer des stocks médicaux en Europe) demande au sénateur Justin Godart d’établir en région parisienne une clinique pour classes moyennes, sur le modèle de celle de Boston. Henri Sellier projette donc d’y construire un hospice, s’auto-sollicitant comme maire de Suresnes et ministre de la Santé publique une subvention de 50 %, la guerre retardant toutefois le projet. La veuve du maréchal Foch accepte que son nom soit donné au projet.